Bataille de Prazska (what if autriche contre prusse)

[chris I]

Lettre du comte Debeer à Berthier

L’officier d’état-major que votre altesse m’a dépêché hier matin me joint près de Praszka. Je stoppe ma marche et fais donc prendre position, à mes trois divisions, sur la rive gauche de la Prosna. Je laisse mes jaegers occuper la rive droite. Ma ligne s’appuie sur deux villages. L’un sur au centre, au sommet d’une hauteur que les polonais appellent colline et l’autre en retrait d‘une deuxième colline sur ma gauche.
Ma division d’avant-garde, comprenant 1 ulhan, 1 dragon, 1artillerie à cheval et 1 fusiliers hongrois sur mon aile gauche ; deux divisions d’infanterie identique, comprenant chacune 2 grosses brigades de fusiliers allemands, dont une conscrit et une batterie au centre appuyées sur la colline centrale ; les troupes légères, grenz, détachées de leurs divisions occuperont les deux villages.

Comme vous le laissiez entendre dans votre dépêche, l’ennemi prussien arriva tôt ce matin et lança un assaut sur toute la ligne en début d’après-midi. Son aile gauche fut arrêtée et repoussée aisément. Le centre fut l’objet d’âpres combats qui vit tour à tour nos troupes fléchir puis reprendre de l’assurance pour enfin les repousser. Son aile droite, la plus forte, enfonça la nôtre malgré la résistance héroïque de nos dragons. Nos pertes semblent identiques aux leurs, mais notre cavalerie est anéantie et la leur est très fatiguée. Nous gardons nos positions en attendant de nouveaux ordres.

Vous pouvez rapporter à votre empereur et à l’impératrice marie louise, que nos troupes ont vaillamment défendu vos intérêts comme le stipule le nouveau traité d’alliance signé par nos deux nations en octobre 1813.

[chris I]

Encore quelques petits oublis (incidence de la cavalerie proche sur le tir, insistance des autrichiens à vouloir tirer à portée moyenne, artillerie oubliant de se déplacer) mais la partie fut assez limpide.

L'Autriche fut bien proche de la rupture dès le 3° tour après des charges lancées sur (presque) toute la ligne pour éviter les tirs à moyenne portée des prussiens et repoussées par les tirs défensifs (parfois miraculeux) des prussiens équipées d'artillerie en attachement. Heureusement pour les autrichiens, les généraux ont récupérés (tout aussi miraculeusement) leurs cohésions.

Les bâtiments ne sont pas si redoutables. Le fait que l'on puisse tirer (ou combattre) sur chaque unité à 4D et compensé par le fait que chaque unité peuvent lui tirer (ou combattre) sur 4D également. La rupture n'est pas impossible.
Les troupes non réformées en défense, sont un vrai calvaire. L'obligation est donc, soit de charger, soit de se placer à portée courte. Donc de subir un tir avant de pouvoir agir.
Les unités larges sont toujours efficaces (même si là le tir prussien les a sévèrement étrillés)